Si la femme pleure l'homme gémit
Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Tous mes poèmes
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2014
(144)
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avril
(15)
- Le cri
- Horloge macabre
- Cryogénie
- Demain
- L'encapsulation de ma mémoire
- L'étoile endormie dans tes yeux
- Insomnie amoureuse
- Cloué au zinc d'un nuage d'alcool
- Les rideaux d'argiles pleurent-ils encore
- Liaison covalente
- Anxiogène d'une phalange à l'autre
- Consolation
- Y-a-t-il un hiatus entre ce qui est écrit et la ré...
- S.O.S boite noire
- Au gré du vent
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▼
avril
(15)
vendredi
Demain
Si la femme pleure l'homme gémit
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Je suis l'énigmatique auteur de mes propres choix, prisonnier de mes paradoxes. Je marche aux côtés de mes trois ombres, des penseurs...
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Tu existes en face de l'hiver Comme une blessure blanche Je te consolerai où j'enveloppe mes poèmes Qui invitent la ten...
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Dans le starting-block fakir du Bengale Surchauffe sur la braise de tes pieds infatigables A force de danser à l'horizontale Au pay...
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Le poète n'est pas auto dégradable Et c'est doubler ses maux au scrabble Il passe juste son temps à écrire des poèmes Qu'il l...
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C'est la nuit du hibou Entendrai-je pas loin gémir le caribou Moi le minuscule jeune pou J 'avoue J'ai rec...
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Les pieds dans le sable du Pacifique En passant chez Universal On se ramène ici pour rêver Mais tous les piétons sont suspects ...
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Dans les heures nocturnes, mes mots s'échappent en soliloque. Seul, je m'adresse à toi, cœur déserté, scrutant les toits de tuiles r...
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Il est temps de vous dire une vérité Qui est James Px. J'ai lu récemment sur un blog « Tout dépend de qui vous êtes » Si vous...
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À bord de son propre nuage Dans l’espérance et le combat Sans maîtres ni esclaves Chacun de nous N'est rien de plus qu'humain ...
Si la femme pleure, l'homme gémit
RépondreSupprimersi la femme est forte, l'homme est d'acier.
Sourires...
Lynda
Deux mains on espère
Supprimer4 c'est le paradis
Ou
Le marteau et la faucille
La femme est forte de sa faiblesse
RépondreSupprimerTu le sais mieux que moi
SupprimerVrai les deux sont fragiles!
RépondreSupprimerBelle lecture
merci James
Amitié
A
Demain le train sifflera trois fois
RépondreSupprimerSi la femme est fragile l'homme est plus fragile...
RépondreSupprimerBelle journée
Je ne sais si le pervers cité aime la perversité
RépondreSupprimermais le "mur gris sans ouvertures" ne ferme pas la portée du poème...
Tt...
Merci James
RépondreSupprimerune belle fin de journée