
Même sous le grand érable
Enraciné là depuis des lustres
Au sein de ce jardin illustre
Ses feuilles vertes se dessèchent
Sous le regard sec de la brèche
La source de nos amours tarit
Loin de nos doux charivaris
L’oiseau bleu sur la branche
Ne chante plus même le dimanche
L’écureuil de feu prépare l’hiver
Est-ce l'annonce dévorante du désert
Distante de moi cette idée folle
Attendons la pluie qu’elle rigole
Avec les yeux et le cœur révolver
Pour tuer les mauvais courants d’air
En attendant la pluie ...moi je suis sur ce belvedere...
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Galatéa
Galatéa Ok et tu vois quoi de ton perchoir ma caille !
RépondreSupprimertres agreable à lire,ce texte,cher James.
RépondreSupprimerJ aime bien "les yeux revolver"...cet erable doit être du Quebec,car il en rougit de plaisir.Bise et vote
Rebelle 13
Rebelle Chacun a besoin que l'autre ait besoin de lui. Dans un couple, trahir l'autre, c'est se trahir soi-même.
RépondreSupprimerUn Riace et une Nérèide ...qui se cherchent ...lol
RépondreSupprimerGalatéa
La chasse est ouverte !
RépondreSupprimerAvec les yeux et le cœur révolver
RépondreSupprimerPour tuer les mauvais courants d’air
Très joliment...dit... Merci James.....
Destinée
Destinée
RépondreSupprimerOu
Avec tes deux émeraudes
tu me taraudes
L'esprit et le coeur